En laissant Valparaiso, cap sur Tahiti, destination rêvée des filles depuis nos premières discussions sur l’organisation du voyage.
Vol de nuit, avec un stop de 2 heures en pleine nuit à l’Ile de Pâques. Arrivée à 1 heure du matin à Papeete.
Tout de suite, la chaleur est hyper présente, mais ce n’est rien à côté du lendemain matin.
Décalage horaire oblige, nous sommes debout à 7 heures du matin et partants pour trouver le marché de Tahiti et de quoi manger pour le petit déjeuner.
Surprise : il fait déjà une chaleur accablante. Malgré cela, la ville de Papeete est en plein boom : embouteillages, commerces déjà tous ouverts, grand marché central débordant de fruits tropicaux, de poissons, artisanat local … la vie se déroule de 6 h à 17 h sous cette chaleur, et Papeete revendique bien son statut de capitale de la Polynésie (117 îles, sur un territoire grand comme l’Europe)
Lagons, plongée et requins
Dès le surlendemain matin de notre arrivée, cap sur Moorea, en bateau.
Changement d’ambiance complet : l’ile polynésienne la plus proche de Tahiti nous plonge dans la découverte des lagons, des poissons multicolores, du kayak et du snorkeling.
Notre premier hébergement est aussi l’occasion de faire plus ample connaissance avec les moustiques de Moorea. Comme le « fare » n’est pas climatisé, on ouvre en grand toute la journée, et là les moustiques se régalent !
On en profitera pour dévaliser la pharmacie locale et ses différentes solutions anti-moustiques (très efficaces, les bracelets pour les filles).
Masque et tuba aidant, Chloé finit d’apprendre à nager.
Increvable, elle parcourt avec nous la surface de l’eau, à la recherche des raies, poissons-clowns et autres espèces multicolores qui parcourent le fond de l’eau.
Le Must va nous arriver toujours à Moorea, quelques jours plus tard, à l’hôtel Linareva : la chambre est posée face à la mer, devant une jetée qui part directement dans le lagon et au bout, au pied de l’échelle, des requins …
Requins dormeurs certes mais requins tout de même, qui viennent voir vers 17 h tous les jours si on leur a prévu quelque chose à manger.
Ce sont les filles qui sont tombées dessus les premières et les ont ensuite traqués (si on peut dire) pour les photographier. Ici, une photo du petit, tapis au pied de l’échelle, à 3 ou 4 mètres de nous.
Bora-Bora
Dernière partie du séjour : on va donner corps à un rêve de jeune couple : Bora – Bora …
Le Salon du Tourisme nous a permis de découvrir sur papier et les différentes îles et, accessoirement, quelques offres spéciales. Du coup, nous avons opté pour 3 jours à Bora-Bora pour finir notre séjour polynésien.
Découverte par les airs d’abord : le lagon occupe au moins autant le cœur de l’île que son pourtour : eaux cristallines, qui parcourent toutes les nuances des bleus du matin au soir.
On ne lâche plus nos appareils photos : entre la piscine posée au bord du lagon, les séances de plongée à parcourir le jardin de corail, les initiations au port du paréo ou la soirée spectacle polynésienne.
Les filles se sont même initiées au catamaran avec un tour en Hobbie Cat jusqu’à la barrière de corail, mais Chloé a trouvé que cela « penchait beaucoup … »
Retour à Tahiti, avant de reprendre l’avion le lendemain.
On repart de là avec du bleu et des étoiles plein les yeux (on a contemplé le
ciel étoilé et révisé nos constellations tous les soirs).
Est-ce que c’est le soleil, ou le caractère insulaire ?
Les gens sont zens, gentils, attentionnés.
Ici, tout le monde se tutoie direct.
Autre indice : les voitures s’arrêtent spontanément dans la rue pour laisser passer les piétons !
Merci à tous les gens qui nous ont accueillis.
Merci à Roland, qui tient l’hôtel Linareva, et nous a spontanément indiqué, autour d’un apéro, tous ses bons plans pour la Nouvelle-Zélande.
Merci à Stéphane, qui nous a convoyés d’aéroport en chambre d’hôtel à n’importe quelle heure du jour et de la nuit.
On reviendra, c’est sûr…
C’est chouette que vous ayiez vécu çà ( malgré la chaleur) !
j’aimerais bien avoir la photo de Margaux- tahitienne en plus grand…objectif portrait !